Écoutez la complainte Version Benoît (|) Le mari assassin Complainte de Pinquan ou Paincan Version Maillet (M) Version Vigneau (X) Écoutez la complainte que je vas vous chanter Sur une chose étrange qui vient de s'arriver. Ah ! c'en était qu'un homme, soit qu'il était païen De sa pauvre épouse il en a eu la fin. 1. Écoutez la complainte que je vas vous chanter 2. D'une chose étrange qui vient d'arriver 3. C'est un homme bien traître quoiqu'un accadien [sic] 4. De sa chère épouse il en a vu la fin 5. Ainsi un beau dimanche elle s'est lamentée 6. Qu'il fallait mettre ordre à ses cruautées. [sic] 7. (Il est toujours aux armes la nuit couche au grenier 8. Armé d'une hache et d'un tisonnier.)* Re D OT ER SAR ein ne d'u, s dx À e16 a sans s'en die 2 A sie ne ess a pe a e a nn nier se «3 De nie au Cr. Cain QE MR ain die de «ln 6) se 07e se normuae d'acier Ua de Ari als «a na as ds e St nl mb nl den AiDaRiu ee d'ate a a 6: m 015 Ce sad a soie d'a Dani nada ta es cendres rare C'est par un beau dimanche, oh! il s'a bien lamenté Qu'il voulait mettre ordre à toutes ses cruautés. dons sale en d'A did aies Siaiditinin Ce pti so a ua din n es eine dore vds rames dr resp nater sant dre en se sed Aie 15e ses ca niats sx ne ane sp 7e a Il est toujours aux armes, la nuit couche au grenier (Z) il est armé d'une hache aussi d'un tisonnier. Pour l'amour de Dieu, mes frères, oh! veuillez l'arrêter, Venez donc m'soulager car je crains le danger. 9. Je vous prie mes chers frères de venir l'arrêter 10. Prenez part à mes peines Aie 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. car je crains le danger. Un jour il dit à sa femme j'ai une grande envie D'aller dans les bois viens à ma compagnie. il l'a prend et l'amène près d'un haricot [pruche] Et là sa pauvre femme il la mit au tombeau. Après ce grand carnage retourne à sa maison Ne faisant pas mine de sa trahison Puis il dit ensuite à ses petits enfants Je vas prendre la fuite voilà mon argent. Ma femme, j'ai grand’ envie d'aller dans le bois, (Z) à ta compagnie viens-t-en avecque moi. Il emmène cette femme sous un fait d'haricot C'est ici l'infâme qu'il la mise au tombeau. Après tout son carnage il s'en va-t-à la maison En faisant plus mine de tout son carillon l leur a dit ensuite c'qui a été fait, aux p'tits enfants. Pour moi je prends la fuite, et voilà tout mon argent. Un jour dit à sa femme: ah ! oui, j'ai grand’ envie Aller dans mon champ, viens-tu m'accompagner ? Il l'a prend, (2) il l'emmène au pied d'un haricot (Z) il a ‘té si cruel qu'il la place au tombeau. Après son grand carnage s'en r'tourne à la maison Sans faire aucune mine de son carillon. Il dit à ses enfants: je vous quitte mon argent, Je m'en vas prendre la fuite, à vous autres mon argent. Les vers 7 et 8 sont hors-texte. Monsieur Vigneau ne se souvenait plus des deux autres vers qui complétaient le quatrain.