Pour aller se promener, elle demande à son [mari. 2. «Allons donc cher mari, allons donc nous [promener, Allons donc sur la grande terre voir nos parents [et nos amis. » Cet homme si plein de complaisance. il prévoit [pas le danger, Il l’'emmène dans sa voiture, le mauvais temps [s’a élevé. 3. Une goélette bastounaise leur fit signe c’est [d'avancer, IIS approchèrent leur voiture le long de ce [bâtiment, IIS approchèrent leur monture, tout droit ils [callirent à fond. 4. À, cet aimable Pascal, il voit son épouse à [leau, Il s'écrie, il verse des larmes, mais ça fut que [des sanglots. Mais malgré sa grande misère, il la tenait par [un pied, Malheureux sa destinée, elle se sauve, lui s’a [néyeé. 5. Elle s'écrie: «Bonne Sainte Vierge, bonne [Sainte Vierge Marie! » Elle priera son fils unique, qu'on n'a pas [d'espoir(e) sans lui, Que sa volonté soit faite, son saint nom il soit [béni. Pascal Poirier, fils de Basile Poirier et de Tharsile Bernard, était de Tignish. Il épousa à Rustico en pre- mières noces, le 10 août 1812, Agnes Pitre, fille de Pierre Pitre et de Martine Gallant. Devenu veuf, il se re- maria à Richibouctou-Village, Nouveau-Brunswick, le 10 août 1836 à Marie Savoie, fille de Jean Savoie et d'Anne DesRoches de Bouctouche. Pascal se noya 170