13. 
     
    
   
   
    
     14. 
     
    
   
   
    
     15: 
     
    
   
   
    
     16. 
     
    
   
   
    
     17e 
     
    
   
   
    
     Car dans la foi tout doit se consoler 
     
     Puisque Jésus est mort pour nous sauver.]10 
     
    
   
   
    
     Oh ! chers parents je prends part à vos peines, 
     
     Et à vos larmes et à vos justes craintes. 
     
    

    
     Mais il ne faut qu’une bonne pensée 
     
    

    
     Pour mériter l'heureuse éternité. 
     
    
   
   
    
     Je le comprends, votre peine est cruelle, 
     
     Que son corps n’est pas dans le cimetière, 
     
     Qu'il a resté dans un pays étranger, 
     
    

    
     Sur son tombeau pas pouvoir y prier. 
     
    
   
   
    
     Mais si dans les cieux son âme repose, 
     
     Ce pauvre corps c'est si peu de chose. 
     
     C'est une poussière et une vaine fumée 
     
     Qu'à chaque instant est prête à s'envoler. 
     
    
   
   
    
     IIS ont trouvé dans le fond de sa malle, 
     
     De la Sainte Vierge ils ont trouvé l’image. 
     
     De saint Joseph, patron de la bonne mort, 
     
     Sans doute qu'il a pris soin de son sort. 
     
    
   
   
    
     À tous de dire un Pater et un Avé, 
     
    

    
     Ça sera peut-être assez pour le sauver. 
     
     Son saint patron qui tient la clef des cieux 
     
     L'aura introduit dans le sein de Dieu. 
     
    
   
   
    
     Pierre Arsenault naquit à Baie-Egmont le 1° dé- 
     
     cembre 1859 d'Eusèbe Arsenault et de Marie Man- 
     
     zerole. Il était employé à bord d'une goélette améri- 
     
     caine qui faisait la pêche sur les bancs de l'Atlantique 
     
     lorsqu'il se noya vers 18901. l 
     
    

    
     La complainte est attribuée à Emilie Bernard, 
     
     également de Baie-Egmont. 
     
    
   
   
    
     10. Les couplets 11 et 12 sont tirés de la version E* 
     
     11. Date donnée par sœur Sainte-Hildebert dans son manuscrit 
     
    
   
   
    
     L'Âme acadienne, déposé à la Société Saint-Thomas d'Aquin, 
     
     Summerside, l.-P.-E., p. 214. 
     
    
   
   
    
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