10.

11:

12

Le prend dans ses bras, il le transporta

À une petite camp qu est pas tres éloignée. Il est sans connaissance, et il demeure ainsi Pendant trois jours entiers sans aucun signe

[de vie.

«Il faut, mes amis, de suite vous alliez qu'ri Le médecin plus près et l’amener ici. »

Le médecin en vain, si longtemps désiré, S'approche du malade qui est fort attristé.

Il s'est écrié: «Oh! non, je ne crois pas

Que ce brave gentilhomme en meurt de cela. »

Mais souvent l’homme de science est bien [souvent trompé

Car deux mois plus tard il est bien décédé.

Auprès de son lit son frère est assis. Il lui dit: «Jérôme, tu crains bien de mourir. Tout ce que je désire, cher frère, c'est [avant de mourir, Voir mon père et ma mère qui m'ont tant [aimeé. Jérôme console-toi ou bien résigne-toi, Les ceux que tu veux voir sont éloignés de toi. Les ceux que tu désires sont éloignés d'ici, Aie espérance des voir un jour en Paradis.

Puisqu'il faut, cher frère, me soumettre à [mourir, Vous emmenerez mon corps, c est en notre [Ppays. C'est bien en terre sainte je veux être [enterré Parmi tous mes parents qui m'ont tant chéri. »

[Il a bien souffri pendant deux mois entiers Sans pouvoir y revoir ceux qu'il désirait tant. On appela un prêtre, on alla pour le qu'ri, | ne veut pas venir car c'est pas son pays.]*

23. Ce couplet est unique à la version A.

202