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Le prend dans ses bras, il le transporta
À une petite camp qu est pas tres éloignée. Il est sans connaissance, et il demeure ainsi Pendant trois jours entiers sans aucun signe
[de vie.
«Il faut, mes amis, de suite vous alliez qu'ri Le médecin plus près et l’amener ici. »
Le médecin en vain, si longtemps désiré, S'approche du malade qui est fort attristé.
Il s'est écrié: «Oh! non, je ne crois pas
Que ce brave gentilhomme en meurt de cela. »
Mais souvent l’homme de science est bien [souvent trompé
Car deux mois plus tard il est bien décédé.
Auprès de son lit son frère est assis. Il lui dit: «Jérôme, tu crains bien de mourir. — Tout ce que je désire, cher frère, c'est [avant de mourir, Voir mon père et ma mère qui m'ont tant [aimeé. — Jérôme console-toi ou bien résigne-toi, Les ceux que tu veux voir sont éloignés de toi. Les ceux que tu désires sont éloignés d'ici, Aie espérance des voir un jour en Paradis.
— Puisqu'il faut, cher frère, me soumettre à [mourir, Vous emmenerez mon corps, c est en notre [Ppays. C'est bien là en terre sainte je veux être [enterré Parmi tous mes parents qui m'ont tant chéri. »
[Il a bien souffri pendant deux mois entiers Sans pouvoir y revoir ceux qu'il désirait tant. On appela un prêtre, on alla pour le qu'ri, | ne veut pas venir car c'est pas son pays.]*
23. Ce couplet est unique à la version A.
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