9. Quelle grande affliction

10.

Te

12:

Pour tous ses chers amis, Pour un de leurs pêcheurs Qui était dans la mer.

On retourne chercher,

On ne l’a pas trouve.

Son cher frère qui est

Ne faisant que pleurer,

Dit: «Que c’est bien malaisé Quand il faut se séparer. »

La nouvelle ont appris Son père et sa mère,

Ses sœurs et son frère Qui sont dans les Etats. «Joachim est noyé

Mais on ne l’a pas trouvé, De vouloir s’en venir Pour le voir enterré

Car on a toute espoir

De le retrouver.»

Au bout de quatre jours passés, Ses parents sont arrivés.

Quelle grande désolation

Dans cette pauvre maison.

Sa mère s'est écriée:

«Ô Mère de Jésus-Christ,

Ne l'abandonnez pas,

Daignez lui tendre les bras Puisque vous êtes la mère

De chacun de vos enfants. »

Deux semaines sont écoulées, Son corps on n'a pas trouvé. Mais la troisieme semaine Son service on a chanté.

À l'heure de la messe

Deux hommes l'ont trouve.

Il flottait sur les eaux,

Il venait se faire enterrer.

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