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À la côte de l'église Il était venu terrir.
Is l'ont ramassé
À la côte [ils] l'ont amené.
Ces parents avertis
De venir voir leur enfant.
Son père y va grand train, C'était pour la dernière fois,
Et c'est bien malaisé
Quand il faut voir son très cher fils Qui était noyé.
Le monde s’est empressé
De venir voir leur ami.
Grand Dieu! quelle pitié,
Il était défiguré.
IIS l'ont enseveli
Avec cérémonies.
À quatre heures du soir
On partit pour le mettre en terre, On était bien dix-huit voitures, C'était bien pour l'accompagner.
Sa mère qui est au cimetière Ne fait que pleurer.
«Quelle consolation
Dans notre affliction!
Il faut en remercier
La Divine Trinité,
Nous l'avons ramené
Et on peut l’enterrer,
Car il faut bien le croire, C'était sa destinée. »
Dieu veut nous faire voir
Qu'il peut tout par son pouvoir, Qu'il pouvait faire périr
Un jeune homme très prudent. Ayant donné l'idée
D'’aller se confesser
Pour mieux se préparer