110 PAR UN DIMANCHE AU SOIR Marie Talon 110 L'au-tre soir, l'a “té pris 1 - ci, L'au-tre soir, ia ‘té pris —i- sr. Lu ci. C'est les cu- lott's de mon-_ma -ri, C'est les cu- lott's de mon-- ma - ri. PARLÉ: —C'est toi qui l'a pris! —Non, non, l'as menti!—-Qui donc? 1 C'est Ma-rie Ta- lon: don - daine, C'est Ma-rie Ta - lon, don - dé. dé. 1. L'autre soir, j” a ’té pris ici (bis) 2. L'autre soir, j’ a ’té pris ici (bis) C’est les culottes de mon mari. { bis) C’est le chapeau de mon mari. (bis) — C'est toi qui l’a pris! — C’est toi qui l’a pris! — Non, non, t’as menti! — Non, non, t'as menti! — Qui donc? — Qui donc? C'est Marie Talon dondaine, C'est Marie Talon dondaine, C'est Marie Talon dondé. | C’est Marie Talon dondé* } Saviez-vous, grand-père Martin? Léah se rappelait avoir appris la chanson suivante de Faustin Richard, originaire lui aussi de Cap-Egmont. Son entrain etson refrain nous indiquent qu’elle aurait servi de chanson à boire. Cette chanson semble être peu répandue en Acadie, mais les folkloristes l'ont relevée à plusieurs reprises au Québec et en Ontario. Elle aurait pu faire son chemin jusqu’à l’Île en passant par les chantiers forestiers du Québec que les jeunes Acadiens insulaires ont beaucoup fréquentés.