136 PAR UN DIMANCHE AU SOIR
La Marlèche
Une fois de même, c'était une petite Marlèche, puis elle avait pondu des œufs. Elle était dans un arbre qu’elle chantait :
J=126 Sp ed
fn à LS [ eDESE F) 5 — X LR — D | re F
TChir - lip et tchir-lap et ichir-lip et tchir-lap, tchip, tchip,
hi -re U-'re" lire R-re re h-7re li-re bb
ti-re li-re li-re li-re li-re li-re li-re lo, tchir- lip” tchir-lap!.
Le loup arrive là et il s'aperçoit de ça. Il vient là puis il mange tous les petits œufs. La, la Marlèche était sur la branche, découragée :
J-02 Front CEE] PR È
-ÿ en à (Æ à À | o F
Ichir - lip et tchir-lap et tchir - lip.
Le renard a venu là. Il lui a demandé ce qui avait arrivé. Elle a tout conté ça. Il a dit :
— Dis rien. Ponds-en d’autres, puis je m’arrangerai avec le loup.
Ça fait, elle a pondu d’autres œufs et puis elle s’a encore mis sur la branche, puis
encore : J=108 3 — TT 3 —— En N RE Sms. S De + er ne |
Ichir - lip et tchir-lap et tchir-lip et tchir lap, tchip, tchip à
SSSR
ti-re li-re li-re li-re li-re lo, Tchir-lip, tchir-lip.
Le renard vient là :
— Tu as encore pondu? Bien, dis rien.
Il s’a mis sur les œufs. Et bientôt, le loup l’entend chanter. Il revient là puis il va pour manger les œufs, et quand il arrive dans le nique, le renard était là et le renard a sauté sur lui et il lui a tout défait le fond de culotte. Là, le loup s’en a été et puis il chantait :