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pénible de rester dans une ignorance presque complète, ou

de recevoir un enseignement purement anglais. Enfin, depuis une quarantaine d'années, différentes concessions, la plupart

semi-officielles, leur ont rendu la situation moins insuppor-

table. Est-ce l'aurore d’une liberté complète, égale à celle des

autres citoyens du pays ? Espérons-le.