RUSTICO — PAROISSE ACADIENNE 49
Gallant (Joseph); Urbain Gallant (Joseph “Dodo”); Isidore Gallant (Joseph, “Dodo); Pierre Blanchard (Joseph); John B. Botts (J.-R. Bott); Sylvestre Blanchard (Firmin) ; Jérémie Blanchard (Sylvestre); André Doucet (Isaac); Narcisse Doiron, (Gilbert); Jean C. Doiron (Joachim); Fidele Pineau (Simon); Eusébe Gallant (Charles); Charles Gallant (Gros); Joseph Gal— lant (Lapelle);Joseph Gallant (Amable, “Gourdelle”) ; Jacques Gallant, (Joseph); Amand LeClair (Joseph, “Latoune”); Jo- seph Le Brun (C'yrille); Moise LeBrun (Joseph); Paul Martin (Clement); Simon Martin (Germain); Thomas Martin (Jorné); Eusébe Pitre (Rufin); Joseph Pitre (Elie); Augustin Pitre (Rufin); Gélas Pitre (Augustin); Joseph Pineau (Simon); Jé— rome Pineau (Simon); Cléophas Pineau (Simon); Amédée Gal- lant (Fabien); Joseph Gallant (Fabien); Victor Doiron (Xa- vier); Joseph Pitre (Augustin); Fabien Pitre (Augustin); Félix Pitre (Augustin); Jérémie Pitre (Augustin); Joseph Gal- lant (Siméon); Joseph Doucet (Joseph); Gérard Buote (Fran- cois); Sylvain Martin (Thomas); Cyriac Martin (Thomas); Ignace Gallant (Ignace); André Gallant (Ignace); Eusébe Gal- lant (Charles); André Gallant (Charles); Louis Blaquiere (Marle); Laurent Blaquiere; Charles Blaquiére (Lafanne); Azarie Gallant (Joseph).
Un peu plus tard encore, de l’année 1882 a l’année 1887, les familles suivantes partirent de Rustico et se fixerent dans un village alors connu sous le nom de Burke’s Road, dans le comté de Kings. C’était les familles de Eusebe Pitre, Laurent Gallant, Bénoni Gallant, Lambert Martin, Cyriac Martin, Eva- riste Gallant, Jérome Pineau, Polycarpe Gallant, Cléophas Gal- lant, Sylvestre Gallant, Timothée Gallant, Gilbert Gallant, Ti- _ mothée Pitre, Joachim Doiron, Joseph Doucet, et Maxime Pitre. 115 out donné le nom de Nouvelle—Acadie a leur village et ils font partie de la paroisse de St—Charles dont ils torment la majorité des paroissiens. Si ce bon travail commencé par le pere Belcourt avait été poursuivi jusqu’a nos jours, que de suc- cursales de Rustico n’aurions nous pas aux Provinces Maritimes et dans la province de Québec!
En 1869, l’abbé Belcourt fut suivi a la cure de Rustico par 3’abbé R.-P. MacPhee. L’abbé MacPhee avait fait ses études en France et il connaissait a fond la langue francaise. Son oeuvre principale a Rustico fut 1a construction du Convent. Grace 5. l’amabilité de la révérende mere supérieure, nous allons citer textuellement des annales du couvent l’historique suivant:
“En 1876, Mgr McIntyre pour relever la mentalité des Aca- diens de Rustico presque décourag-és ’par leur pauvreté et leur ‘ souffrance, voulut fonder un convent. Il confia cette entreprise au curé, 1e Rev. Pere McPhee qui consulta les paroissiens.